Déballage et emballement du week-end
Quart de final réussi, anniversaire d'un copain sympa, suite (mais pas fin) de déménagement chez mes parents (acquisition d'une armoire!)...
En ce qui me concerne, c'est "l'année déménagement". Mais bon tant mieux, autant servir un peu quand on le peut.
J'ai changé de voiture aussi. J'ai acheté la Picasso de mes parents. Ca fait drôle de se retrouver dans une grande voiture comme ça. Je ne suis pas trop matérialiste, mais, quand même, j'avoue qu'on apprécie son petit confort... En plus il y a un lecteur CD à l'intérieur. Je vais pouvoir réécouter MA musique en voiture! Mais bon, j'écouterai quand même la radio "Le mouv'" de temps en temps quand même...
Week-end un peu en demi-teinte malgré tout. Déjà un mal de tête ce matin, peut être du à la fête après la victoire Française et à l'anniv' du pote...
Et je n'ai pas fais de sport, contrairement à ce que je voulais faire. Ca fait deux semaines déjà, attention à ne pas laisser retomber le niveau que je commençais à reprendre...
Relâchement général, car le projet sur lequel j'étais, au niveau du boulot dont je parle depuis début mars est arrivé à son terme, et avec succés vendredi dernier. Donc le Vincenzo est content. Les quatre mois de boulot "speed" vont donc bientôt laisser place, provisoirement en tous cas, à plus de légèreté. En attendant les vacances, qui se profilent à l'horizon.
Ma première année de célibataire va bientôt s'achever, en aoùt. J'ai ressorti "l'album de la liberté", le premier album que j'ai écouté dans un esprit libertaire pendant et après la rupture avec mon ex. Cet album, "Histoires" de Bernard Lavillier (double album best-of), a réveillé en moi ce week-end les motifs intrinsèques qui m'avais poussés à la séparation. Il y flotte un sentiment de liberté dans cet album, au travers des voyages, des rencontres, des coups de galères, des solitudes, et tout cela dans un contexte si lanscinant, si dédramatisé, que j'avais réalisé à l'époque que si elle ne voulais pas rester avec moi, il fallait partir.
J'ai toujours lié la musique à mes actes. Et parfois l'inverse, comme c'est le cas ici. Encore que. La musique n'est-elle pas qu'une simple révélatrice d'un état d'esprit sous-jacent?
Etonnement, A chaque évènement de ma vie, un morceau au moins coïncide parfaitement avec ce que je suis en train de vivre. Cela fait il partie de la providence?
Dans mes état d'âme du week-end, je voulais aussi parler de l'emballement, de ma précipitation dont je suis souvent sujet. Cette façon que j'ai de me projeter dans le futur dés qu'un évènement survient, me sert parfois, mais me nuit aussi.
Par exemple, une fille me fait un sourire, ou m'envoie un message gentil, et je m'imagine déjà me marier avec elle!
Si ça c'est pas de la précipitation!
Mais je me suis beaucoup calmé. Tout le but consiste, en se calmant, à ne pas se calmer par dépit, mais uniquement par sagesse. La différence est primordiale. Je ne crois pas que je changerai cette propension, car je ne la crois pas malsaine, au contraire je la crois constructive. Mais je dois apprendre à la dominer, voilà.
A suivre...
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